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22/10/24 | Monde, politique de l'égalité Femme-Homme
La nouvelle loi permettra aux survivants de violences domestiques de demander immédiatement un ordre de dissolution de mariage une fois qu'une ordonnance de protection définitive est émise
Un article publié dans le petit Journal édition Nouvelle Zélande
Actuellement, la législation néo-zélandaise impose un délai de deux ans de séparation avant qu’un couple puisse entamer une procédure de divorce.
la Nouvelle-Zélande avait déjà connu une réforme majeure de la législation sur le divorce en 1980. Cette réforme avait introduit le concept de « divorce sans faute », permettant aux couples de se séparer sans avoir à prouver une faute telle que l'adultère. Cependant, Russell estime que le temps est venu d'aller plus loin, notamment pour protéger les victimes de violences conjugales.
Ashley Jones, une résidente de Wellington, est à l’origine de cette initiative législative. En 2020, après avoir quitté une relation abusive, elle a plaidé pour que la loi soit modifiée, soulignant l’impact négatif de la période d'attente de deux ans sur les victimes, prolongée inutilement pour des raisons purement administratives.